lundi 19 septembre 2011

Oh Pétard !


Ce que « Oh Pétard ! «  n’est pas :
-         Une anthologie fessière
-         Une apologie de produits naturels (et cependant illicites) qui font rire bêtement
-         Un brûlot sur la légalisation des armes de poing
-         Les mémoires d’un organisateur de 14 juillet
Non, Pétard, c’est le nom du chien de cette famille. Pétard est heureux jusqu’au moment où ses maîtres se séparent. Quoi ? Deux niches ? Quelle horreur ! Alors Pétard va tenter de les « remettre ensemble ». Jusqu’au moment où il se rendra compte qu’avoir deux maisons, parfois, ce n’est pas si mal que ça et que ce qui compte vraiment, c’est que ses deux maîtres l’aiment…
Christine Davenier a donné à Pétard une truffe irrésistible et chez ses deux maîtres, c'est aussi bien rangé que chez moi...

Oh, Pétard ! Mise en vente le 22 septembre 2011
Texte de Christine Naumann-Villemin
Illustrations de Christine Davenier

Ah, non ! Ça ne se passera pas comme ça ! Ils ne peuvent pas rester séparés, les deux grands, il faut qu’on fasse quelque chose ! Parole de Pétard ! Allez, les enfants, aidez-moi ! Oui, mais Pétard, tu vas le découvrir, même lorsqu'on a deux maisons, on peut très bien être heureux !
A partir de 3/4 ans 40 pages, 210 x 240, en couleurs, relié, pelliculé 13 €

lundi 12 septembre 2011

La princesse réclame !

Le catalogue du Parc des jouets enchantés est formel : outre une couronne, une VRAIE princesse doit obligatoirement posséder une trottinette à paillettes avec les lumières qui clignotent, des images de licorne magique à échanger, un pistolet qui envoie des boulettes de prout et un chien tout frisé avec une laisse qui brille…Eliette et sa cousine Alice y croient dur comme fer.


C'est mon Eliette, ma princesse coquette qui revient... Mon défi, c'était de montrer une petite fille qui "réclame" sans cesse des choses sans en faire une capriciosa. Je la voulais plutôt victime du consumérisme ambiant qu'exigeante. Futée mais naïve. Et pas de leçon de morale !
La voici, elle est à fond dans les "réclames". Elle réclame. Parce qu'elle est convaincue, comme le disent les publicités que c'est la seule façon de devenir une fille géniale.
En vérité, elle EST géniale. Et n'a pas besoin d'attributs pour ça. Elle va le découvrir.
Marianne s'est bien éclatée : l'univers du parc d'attraction est une véritable gourmandise, même moi, j'irais bien y faire un tour...
PS : parents, ne cherchez pas dans les magasins : le pistolet qui crache des boulettes de prout N'EXISTE PAS.

samedi 27 août 2011

Quand le loup a faim

Je me suis réveillée en sursaut, une nuit (ou alors, j’étais à mon travaillement, à taper une notice catalographique, je ne sais plus trop, les deux sont à peu de chose près identiques) et j’ai eu une illumination (je laisse toujours le couloir allumé, pour ceux qui vont faire pipi) : Feydeau !!! Labiche !!!!
Voilà ! C’est ça que je voulais faire : écrire un vaudeville pour enfants ! Des portes qui claquent, des quiproquos, un héros qui s’enferre dans les ennuis à mesure qu’il tente des solutions. Unité de temps, de lieu, d’action… Enthousiasmant, comme projet, non ?
Eh ben, mes amis, j’aurais dû rester au lit ! (ou finir ma notice). J’ai dû écrire quelque chose comme 15 versions ! C’est tellement un truc de matheux littéraire ! (même vous, ça vous choque, hein, cette association verbale !!!)
Mais quand même, la Fée des Insomnies et des Notices Bibliographiques s’est penchée sur mon futon et m’a aidée…
Alors, le voici, ça s’appelle « Quand le loup a faim », bêtement, parce qu’après l’avoir écrit, je n’en pouvais plus, même trouver un titre était au-dessus de mes forces imaginatives (imaginaires ?). J’espère qu’il est drôle. J’ai hâte de le lire à un enfant (pas mes enfants, ils sont tombés dedans quand ils étaient petits, ça ne compte pas). Mon rêve secret est qu’il dise : « Ho, ce loup ! Il est méchant mais quand même, le pauvre ! »
J’adore les illustrations de Kris Di Giacomo. Je VEUX  un original mais jamais je n’oserais le lui demander (pouvez-vous, chers amis, le faire pour moi, discrètement ? Je vous mets le lien vers son blog : http://krisdigiacomo.over-blog.com/article-quand-le-loup-a-faim-80311603.html)
Et comme c’est un hymne à l’amitié (oui, parfaitement !), il est pour mes deux amivoisinous chéris, Véro et Chico. Merci pour tous ces vendredis soirs improvisés et délicieux... Comme un lapin à la moutarde...

mardi 28 juin 2011

Attestation !

Nous, équipe de la médiathèque des Tipapoutes du Ch’Nord sommes au regret de rapporter les faits ci-dessous, faits attestant du caractère totalement anti-professionnel de l’auteur Christine Naumann-Villemin :
-        Madame Naumann-Villemin est arrivée à Lille à 12 h et s’est aussitôt empressée d’aller à la taverne dite des « trois brasseurs » où elle a goûté sans vergogne et sans respect aucun pour ses futurs interlocuteurs au « Welsh » (mélange étrange de fromage-qui-a du -caractère, de bière et de moutarde, diététiquement asséché par des frites).

L'auteur a un verre à la main mais a la décence de se cacher

-        Madame Naumann-Villemin a accepté sans aucune éthique les nombreux cadeaux offerts par nous-mêmes et nous a embrassés sans retenue, à grand renfort de tapes dans le dos et d’onomatopées lorraines (« Vinguette, c’est pas d’la tarte, vos cadeaux, c’est trou d’la balle ! »)
-        - Madame Naumann-Villemin s’est ensuite rendue dans la classe des ti-papoutes déjà visités en mars et s’est livrée à des effusions totalement déplacées sous prétexte d’émerveillement : en effet, elle avait quitté des petits illettrés et retrouvait désormais de vrais lecteurs !












auteur se droguant aux phéromones enfantines


Auteur n'ayant manifestement aucune autorité



-         Madame Naumann-Villemin a procédé à un odieux chantage affectif en expliquant à une jeune maman qu’elle rêvait de respirer l’odeur du crâne d’un nouveau-né, obtenant ainsi de la jeune mère qu’elle la laisse donner le biberon au nourrisson.
-        Madame Naumann-Villemin, dès la fin des animations s’est précipitée au centre- ville de Lille et a claqué sa paie et celle de son mari dans les boutiques, entamant par là-même l’héritage prévu pour sa descendance.
-        Le soir, au lieu de préparer le discours qu’il avait été convenu par contrat qu’elle prononcerait le lendemain, Madame Naumann-Villemin s’est gavée de Maroilles dans sa chambre d’hôtel, chambre qui a dû subir une décontamination olfactive de force 8 de la part du GIGN (Gars Insensibles aux Gaz Nodorants).
-        Le lendemain, lors de la projection du film réalisé par la maîtresse des ti-papoutes, Madame Naumann-Villemin s’est mise à pleurer de façon absolument non-professionnelle et s'est mouchée dans sa manche.
Auteur troublée

-        Madame Naumann-Villemin a, suite  à la chanson des enfants, reléché tout le monde, y compris d’innocents parents, toujours sans compensation mouchoriale.
-        Elle a honteusement quémandé des marque-ta-page, des affichettes, des posters, des gadgets divers et variés à la libraire venue vendre ses livres et a fait travailler les enfants lors de la séance de dédicace en les obligeant à dessiner et tamponner sur des livres TOUT NEUFS !

-        Madame Naumann-Villemin a la grosse tête : elle s’est étonnée que son chauffeur ne conduise pas une limousine, a exigé qu’il remise ses enfants dans le coffre et a réclamé, en cœur avec les grumeaux : «  Chauffeur, plus vite, fais-nous Flash Mac Queen ! ».
-        Madame Naumann-Villemin s’est effondrée dans le train, épuisée de n’avoir rien fait d’autre que de vivre des moments merveilleux et s’est gargarisée de sa chance insolente. Il faut noter que la sus-nommée voyageait avec un Maroilles ET des roses, ce qui a totalement désorienté les passagers de la rame du TGV.
Pour toutes ces raisons, nous déclarons que Madame Naumann-Villemin n’est vraiment pas professionnelle et nous exigeons que désormais soit inscrite sur les contrats, la mention suivante : «  à fréquenter avec modération, à gâter avec circonspection, à accueillir avec la plus grande neutralité, l’abus de gentillesse étant visiblement dommageable pour sa santé mentale. »
L'auteur se demande si elle ne va pas racheter une tétine

membre de la médiathèque tentant de réparer les dégâts

Equipe pas rancunière


carte de visite de l'auteur



dimanche 22 mai 2011

The cherry on the cake


Chapitre 1 : la mairie d’une petite ville me contacte : « Nous proposons tous les ans à nos écoles d’inviter un auteur. Cette année, c’est vous ».
Bon, ok.
Chapitre 2 : 
Mail d’une des écoles proposées : « Alors, chère Madame, c’est quoi votre petit programme ? »
Je réponds que je n’ai pas de séance toute faite étant donné que je ne suis pas vendeuse d’appareils à découper les tomates en forme de fleur, ni de produit miracle pour nettoyer les taches d’herbe sur les shorts blancs. Evidemment, je ne le dis pas comme ça, j’annonce que je me coule dans leur projet : jeu de questions-réponses, atelier d’écriture, anecdotes d’écriture, présentation de manuscrits, de maquettes, etc. En gros, j’explique que je suis une cerise sur le gâteau.
Chapitre 3. Il ne se passe rien. Les mois passent. Tout est calme.
Chapitre 4 : le vendredi après midi, coup de fil de la mairie : «  Voilà, pour ce lundi, c’est annulé ».
-         Ah bon ?
-         Euh,  ben oui. Les maîtresses n’ont rien préparé et comme vous aviez demandé de préparer quelque chose…. »
 Bref, comme il n’y a pas de gâteau, c’est pas trop la peine de faire venir la cerise (ou la poire ?)
Pas le temps de préparer ? Si on ne prend pas le temps, en CP de lire trois ou quatre albums aux enfants, on fait quoi ? Du déchiffrage ? Ca doit leur donner envie d’apprendre à lire, c’est certain !
Et puis, ce qui me questionne par-dessus tout, c’est la considération des enfants dans tout ça. Que leur a-t-on dit ?
« Alors, voilà, une dame viendra un lundi et puis vous verrez bien, pendant ce temps-là, je finirai mon sudoku… »
Ou alors, on ne leur a rien dit ? Cela m’est déjà arrivé : je me pointe dans l’école, frappe à la porte, entre. Vingt-cinq petites bouilles médusées : « C’est qui celle-là ? ». Et moi : « Bonjour les pitinenfants, vous savez qui je suis ? Non ? Vous savez pourquoi je suis ici ? Non ? Vous connaissez mes livres ? Non ? Bon, je vais vous faire double salto arrière suivi d’un triple lutz, ça vous irait ? »
Bref, on « consomme » des auteurs, comme ça, sans amont, sans aval. Ca coûte des sous (enfin, pas cette fois, puisque, bien sûr, je ne serai pas payée) et c’est aussi efficace qu’une crème anticellulite.
C’est pas grave, de toute façon, je préfèrerais me faire dévitaliser une dent que de revivre ce genre d’intervention.
Mais, et c’est pas pour nous vanter, dans mon bahut (oui, je suis aussi prof !), quand on invite un auteur, les enfants l’attendent de pied ferme. Avec des gâteaux maison, surmontés (ou pas) d’une cerise.
Epilogue : lundi, quand je bouquinerai dans mon jardin, je ne serai plus du tout mécontente…

mercredi 23 mars 2011

Les chtis bibounes du Ch' Nord

On commence par une blague !
Quand on parle de l'hospitalité des gens du nord, on ne plaisante pas. Il a bien raison, Enrico Macias (ici, les moins de 40 ans ne voient pas le rapport avec les frites, mais les vieux ont tout compris) !
Au départ, il y a une demande de la part de la maîtresse, Claire. Alors, on s'écrit, on se cause, on finit par se rendre compte qu'il s'agit d'une vraie rencontre, qu'on peut se claquer les pognes toutes les 30 secondes, sans problème, qu'on s'est déjà bien éloignées d'une visite professionnelle.
Alors, c'est une Kiki attendue de pied tendre qui a posé le pied à Lille. 2 écoles, carrément. De 2 à 7 ans, les pitizenfants.
Après ? Après, un tourbillon, un enchantement, un échange de microbes et (même de crobes entiers), des chansons, des gâteaux amoureusement cuits, des cahiers à spirales, des bécots, 500 grammes de Maroilles grignotés toute seule (j'avais mis une petite pancarte ; "Ne pas approcher, DANGER"), des bergamotes écrasées au fond de mon sac, une petite robe noire achetée, un délit de grivèlerie (ben oui, je suis partie sans payer du restau. Tranquille, en disant au revoir à tout le monde. Mais je suis revenue, hein !). Et aussi douze grilles de sudoku, des dédicaces, des crêpes au "chuc", une histoire qui tombe pile poil (je l'ignorais mais la plupart des enfants de la première classe étaient des enfants du voyage et, atelier d'écriture, je ne sais pas pourquoi, je lance : "Il n'a pas de maison, il n'a pas de chambre...".La maîtresse me regarde avec les yeux exorbités. Au finish, un beau texte sur l'hospitalité et le partage, le héros est accueilli en ami, il en profite pour parler de sa planète à son hôte. Incroyable hasard ou petits messages subliminaux ?).
Dans la classe de Claire, des dessins, des chansons, des textes, des cadeaux, des rires complices, une histoire de directrice photophobe, des voeux pour une petite fille courageuse.
Et puis, c'est pas fini : je vais revenir. On peut pas se quitter comme ça.
Morceaux choisis :

Les présentations : tout est calme... Pour l'instant !

où je deviens prof de dessin

T'aimes pas les bergamotes ? Ben c'est pas grave, crache ! 

Franchement, c'est pas mal, hein ?
Sur la base de "Trop timide" : "trop enrhubé", une jolie surprise que les enfants ont préparée
Les histoires, c'est bien, mais rien ne vaut une bonne blague Carambar !

On se détend, on dirait !


Super concentrés !




des bouilles à croquer
Vous savez quoi ? On se revoit en juin !

mercredi 16 mars 2011

Bobos et maladies

http://www.editionsmilan.com/fcc029ff/Bobos-et-maladies.html

Voici un documentaire commis par moi-même et tutitulisé « Bobos et maladies ».
J’ai adoré faire ça !
Tout d’abord, j’ai dû mener l’enquête : Qu’est-ce que inquiétait, questionnait les 6-8 ans au niveau de la santé, des maladies ?
J’ai pris mon petit carnet et j’ai parlé avec des loupiots : «  C’est quoi qui te fait peur, dans ton corps ? », « C’est quoi, être malade, pour toi ? ». Rien que ça, ça valait le détour : « les yaourts, la Litière, c’est pour les chats ou je peux en manger ? », « Si on se casse les os, la jambe, elle tombe ? », «  La goutte de sang qui est sur les pansements, comment je peux la reprendre ? »
Ensuite, je suis allée voir des médecins, des infirmières et surtout, ma fidèle pédiatre avec des questions apparemment naïves : « Pourquoi les enfants ont peur des piqûres ? » ou « Vous dites quoi à un enfant qui refuse de faire caca à l’école ? ». Et là, j’ai découvert un monde insoupçonné : les enfants ont peur des piqûres parce qu’ils ont peur d’être transpercés, troués, vidés de leur substance. Ils se demandent s’ils sont malades parce qu’ils ont dit des gros mots. Ils pensent que le stéthoscope parle au docteur…
J’ai donc choisi des thèmes, posé les questions…
Et le truc passionnant : expliquer des notions complexes en trois phrases simples. L’hémostase. Le renouvellement cellulaire. Les allergies. La douleur psychique.
Et puis, ce qui était super, c’est que, pour une fois, je devais proposer à l’illustratrice ce qu’elle devait dessiner, quels choix elle pouvait faire, comment elle devait traiter le thème : une grande page, des cabochons, comment dessiner un microbe, un globule blanc… Vraiment super, comme sujet : comment dessiner un nerf ? Toute une histoire, quoi…
Et puis, évidemment il y a des choix éthiques : on propose les médicaments comme l’universelle panacé-ééée ? On dit qu’on doit lutter contre la fièvre ou en faire un mal nécessaire ? On se précipite chez le médecin, ou on attend ?
J’ai hâte d’avoir des retours. De ninos, de parents, de pros…
J’aimerais en faire d’autres : les dangers de la ville, l’amitié, apprendre, pour quoi faire… mais ça, ça ne dépend pas de moué !

jeudi 10 février 2011

Georgette, la vedette



Voici notre tout nouveau petit oeuf, à Marianne Barcilon et à moi. Entre nous, on s'appelle "poulette", depuis toujours. Alors, j'avais envie d'écrire une histoire de poule, je voulais voir les gallinacés de la Mariannette, je rêvais d'une histoire qui fait cotcot, cuicui et voilà, cocorico ! Elle arrive dans les poulaillers bacs la semaine prochaine.
En plus, il y a VRAIMENT du suspens. même pour moi, qui connais la fin, c'est parfois insoutenable : comment va-t-elle se sortir de cette galère, notre Georgette ?
En avant première, pour vous, mes petits poussins, quelques graines...

Pauvre Georgette ! Elle ne peut pas se vanter auprès des autres poules d’avoir acheté une bague à Paris, ou d’avoir parcouru 5360 kilomètres en une journée, ni d’avoir récolté 13 kilos de beaux vers dodus. Alors, qu’est-ce qu’elle pourrait bien inventer pour impressionner toutes ces dames ? Hein ? Vous avez dit un œuf carré ?!





Elle est pas mignonnette, notre Georgette ?

lundi 10 janvier 2011

un kamishibaï : Les cadeaux de tatie Zélie

Aujourd'hui sort mon premier Kamishibaï.
Mais c'est quoi donc, un kamishibaï ?
Non, ce n'est pas un dessert japonais à base d'algue crue mais vivante.
Non, il ne s'agit pas de l'art ancestral de composition d'animaux empaillés.
Non, ce n'est pas non plus un film d'action avec plein de "Watchaaaaaaa !" et de gens qui valdinguent au ralenti.
Non, le kamishibaï est un "Petit théâtre d'images d'origine japonaise, le kamishibaï est un outil pédagogique d'une grand richesse. Beaucoup d'enseignants, et notamment les pédagogues du mouvement Freinet s'en sont emparés pour mener avec leurs élèves des activités d'expression riches en apprentissages."

C'est un moyen terme entre le conte, le théatre et le livre. C'est l'adulte qui lit mais l'enfant doit deviner ce qui va se passer...On peut donc ménager un suspens, en montrant tout ou partie du texte (par exemple, le héros veut "un truc qui a quatre roues, qui fait vroum vroum et qu'on range dans le garage". Il obtient... ici, on ne montre que la moitié de l'image. On y voit des roues... Il obtient... Une tondeuse à gazon !)
C'est très drôle, en général, les enfants adorent...
http://www.callicephale.fr/

Mon catalogue de numéros (bis repetita)

                                               Il arrive parfois qu’un maître, une maîtresse, un bibliothécaire ou une documentaliste (chang...