mardi 25 novembre 2014

Diguiling diguiling (ceci est un bruit de clochettes)

Comme Nôel approche, il est temps de vous présenter la gracieuse Pustula. Seulement, il faut bien le dire, elle fait un peu tache dans le genre "esprit de Noel".

Bon, ici, je fais une pause. Pourquoi, à votre avis, ai-je tant traîné, tant procrastiné pour écrire un article sur ce beau livre qui a paru en...octobre ?
Je vous l'avoue : Je HAIS écrire le mot NOEL. Encore, en majuscules, ça passe. Mais en minuscules... Le tréma, je le hais. Je le mets avant, après, confondu avec le petit circonflexe, son voisin de cellule, bref, à chaque fois, je dois réécrire ce mot désormais craint. Je frise le burn out C'est dur, la vie d'auteur. Donc, je repousse... 

Et nous voici presque en décembre, la pauvre Pustula doit se languir : l'aurais-je oubliée ? 

 Que nenni, mon affreuse ! Tu pourras figurer en bonne place sous le sapin, le soir de Noêl ! Le père Nöel te portera dans ses grands bras musclés jusque devant la cheminée, petite sorcière mal embouchée, dérangée par un lutin tombé du traïneau (oui "trai¨neau" c'est pareil) ! Alors donc, voilà-ti pas que le lutin se retrouve devant sa porte avec un bobo. Et que je te réclame un pansement, et que je veux une tisane, et encore un bisou-qui-guérit et que sais-je encore.
 Eh, Pustula, si tu découvrais la tendresse ? Après, tout, c'est magique, NoEl !
Aux éditions "Le pas de l'échelle".

A noter : version spéciale pour les écoles maternelles : un kamishibaï, trois niveaux de lecture différents et un fichier pédagogique avec ! (il y en a un peu plus, je vous le laisse ?)

 


Mon catalogue de numéros (bis repetita)

                                               Il arrive parfois qu’un maître, une maîtresse, un bibliothécaire ou une documentaliste (chang...